Notum facimus quod coram nobis cons

Notum facimus quod coram nobis constitutus Gervasius, presbiter de Lardiaco,recognovit quod capitulum Beati Exuperii Corboliensis habebat decem solidos Parisiensium annui redditus super quadam vinea sita, ut dicitur, in loco qui dicitur Tartaret, in censiva dicti capituli, debitos annuatim ad opus anniversarii defuncti Guillelmi de Breia, quondam capicerii Beati Exuperii Corboliensis, que vinea pertinet ad ipsum Gervasium ex successione defuncti Stephani dicti Morel, quondam capellani in ecclesia dicti Exuperii, quondam fratris ejusdem Gervasii. Quam vineam idem Gervasius coram nobis constitutus dedit et concessit in elemosinam dicto capitulo, retento tamen eidem Gervasio, quamdiu vixerit, in dicta vinea usufructu, tali modo quod ipse Gervasius quamdiu vixerit solvet dicto capitulo quolibet anno quindecim solidos Parisiensium die anniversariorum dictorum Guillelmi et Stephani, videlicet decem pro anniversario dicti Guillelmi, et quinque solidos pro anniversario dicti Stephani, ita quod post decessum ipsius Gervasii cessabit solucio dictorum quindecim solidorum. Et promisit dictus Gervasius, fide data in manu nostra, quod contra premissa per se vel per alium non veniet in futurum.

Résultats (Français) 1:

Nous déclarons que nous avons mis en avant Gervase, un prêtre de Lardiaco, a reconnu que le chapitre avait un revenu annuel de dix shillings Paris Saint Exupéry Corboliensis sur une certaine vignoble est situé, a déclaré que, dans un endroit appelé Tartaret, censiva dit dans la capitale, en raison de la date anniversaire de la fin William de Broyes, une fois sacristains Corboliensis ils sont bénis, Exupery, qui est le vignoble de la succession du défunt, de Stephen, de la partie substantielle de leurs saints Gervase appelé Morel, qui était autrefois l'aumônier de l'église appelée, Exupery, anciennement de son frère du même Gervase. Gave et a accordé à la même Gervase des vignobles sont devant nous comme l'aumône à ladite chapitre, de retenue, cependant, le même Gervase, tant qu'il vit, l'usufruit d'un vignoble dans le dit, tant qu'il vit dans une telle manière que la Gervasio quinze shillings chaque année payer à ces chapitres, anniversaires, jour de ladite William et Stephen à Paris, à-dire dix ans, à l'anniversaire de la soi-disant William, et cinq shillings en raison d'un anniversaire de ladite Stephen, de sorte que le paiement cessera après la mort de ladite Gervase de quinze shillings. Et le dit Gervais, a promis leur foi dans notre main, elle est contraire aux choses mentionnées ci-dessus, soit personnellement, soit par une tierce partie ne viendra pas à l'avenir.