A Trigue Non possum fidei causa ima

A Trigue Non possum fidei causa imagines neque triumphos aut consulatus Majorum meorum ostendare at, si res postulet hastas, vexillum, aleras, alia militaria dona, praeterea cicatrices adverso corpore. Hae sunt meae imagines, haec nobilitas non hereditate relicta, ut illa illis, sed quae ego meis plurimis laboribus et periculis quaesivi. Non sunt composita verba mea parvi id facio. Ipsa se

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A portraits Trigue de la famille ou les triomphes, ou consulats de mes ancêtres, je ne peux pas montrer la cause de la foi, mais, si l'on pensait que les lances nécessaires, une bannière, d'alerte, et d'autres prix militaires, ainsi que des cicatrices sur le corps. Ce sont les images de ma vie, cette noblesse, ne m'a pas laissé en héritage, comme leur étaient, mais par mes propres efforts et périls innombrables. Mes mots ne sont pas que quelques-uns, que je fais. lui-même