Erant Capuae nonnulli domini qui se

Erant Capuae nonnulli domini qui servos in ludis gladiatoriis docebant

ut eos in muneribus ostenderent. Quinto anno post Syllae mortem, septuaginta quattuor gladiatores, qui in hac urbe istam artem discebant, certo die fugerunt. Illa fuga longum periculum Italiae attulit. Statuerunt ut duo duces parvae manui praeessent, Spartacus et Crixus. Hic Gallus erat. Ille in Thraciae montibus natus, non tantum fortis erat, sed etiam ingenium fortuna sua superius praestabat. Dixerunt eum, moribus suis viro Graeco similiorem quam barbaro, humanum fuisse.
Postquam Romani eum in bello ceperant, per somnium ingentem
draconem haud procul a capite suo viderat. Eius autem coniux existimaverat hoc esse signum magnarum futurarum victoriarum brevisque vitae. Haec femina cum eo in Italiam pervenerat et simul fugerat. Illi viro semper aderat et spem certam ei ostendebat.
Spartacus ipse ceteris gladiatoribus suaserat ut tantos labores
relinquerent et pro sua libertate pugnarent, non pro alienorum civium voluptate interirent. Ex ludo gladiatorio fugientes, satis armorum secum ceperant, ut Vesuvium montem occupare possent. Mox ista turpia arma laetissimi mutaverunt, simul ac armorum bellicorum copiam vi ceperunt.
Tum propinquos agros et ipsa oppida premere ceperunt, omniaque eis
fuerunt praeda. Summum metum liberis hominibus intulerunt; sed cum Spartacus ipse similem opum partem sine ulla iniuria semper omnibus daret, ingens servorum multitudo, dominis relictis, ad gladiatores convenit. Mox septem milia hominum in Vesuvio fuerunt.

Résultats (Français) 1:

Maintenant, il y en avait du Seigneur qui envoya ses serviteurs dans les jeux, avec des gladiateurs de Capoue, enseignées par leurs propres cadeaux pour montrer qu'ils avaient. Dans la cinquième année après la mort de Sylla, étaient soixante-quatorze gladiateurs, qui se trouvent dans cette ville pour mien l'art d'apprendre à un certain jour et se sont enfuis. Que le danger d'un long vol de l'armée de l 'Italie. Pour régner sur la petite à la main, ils ont déterminé que deux des princes, Spartacus et Crixus. Ici était un Français. Il est né dans les montagnes de la Thrace, il était non seulement forte, mais les sanctuaires aussi pour les meilleurs talents que son sort. Ils lui dirent, par son caractère moral que d'un homme barbare, comme le Grec, l'humain ont été. Après les Romains l'avaient pris dans la bataille, dans un rêve d'un immense dragon, non loin de sa tête, il avait vu. Sa femme pensait ce fut une grande victoire et un signe précoce de la vie. Cette femme était venue avec lui en Italie, et en même temps, il fui. Mais elle était toujours présente et nous espérons Certes, il a montré. Spartacus lui-même, les autres gladiateurs conseillé de ne travailler laissé se battre pour leur propre liberté et non pour les autres citoyens de le plaisir de distance. Hors de la fuite de gladiateurs, avec suffisamment d'armes prises pour Vésuve pourraient prendre. Peu de temps après cette faute bras gai changé, et la fourniture de matériel militaire saisi par la force. Ensuite, appuyez sur le quartier et les villes qu'ils avaient capturés, et chacun d'entre eux étaient des proies. A provoqué la plus grande peur pour leurs enfants; Spartacus lui-même, est toujours le même, mais avec aucun moyen tort du tout à recevoir une partie de celui-ci, sans richesse, une immense multitude d'esclaves, abandonnés par leurs propriétaires, pour appartenir aux gladiateurs. Peu de temps après, au Vésuve, sept mille hommes avaient passé avant.