Unde quidam nobilis vir, de vicino

Unde quidam nobilis vir, de vicino castro quod dicitur Bolziol, nomine Guigo, qui habebat omni anno de monasterio solidos quinquaginta, tali tenore ut pro hoc fidelitatem tenere abbati juraret, cogitans aput se sicut Apostolus ai «melius esse dare quam accipere », cujustam militis sui subita morte compunctus, cui quamdam partem illius muneris dederat, et divino timore praeventus reliquit quod accipere solebat : ita tamen ut similiter abbati monasterii eamdem fidelitatem jurando faceret et filii ejus post illum, sicut patres sui antea faciebant ; dedit ergo, laudantibus filiis suis et uxore sua, ptraedictos prasdictos solidos Domino Deo sanctoque Theofredo caesterisque sanctis ejusdem loci, pro redemtione animae suae et patris sui Sylvionis et omnium filiorum et propinquorum suorum, ut peccati pœnam evaderent et inter electos Dei misericordiam in die judicii reperirent. Reliquit etiam uxor illius defuncti portionem suam, hos est XV solidos, pro anima viri sui nomine Bertrandi cum voluntate filiorum suorum, ut numquam deinceps ipsam pecuniam acciperent aut haberent. Facta est inde charta donationis VII kalendas maii, feria II, confirmante ipso Guigone et filiis ejus Sylvione et Stephano, Adone et ex alia parte Guilherma, filia ejusdem Guigonis, cum filiis suis Sicardo, Stephano, Guigone et aliis testibus, sine ulla contradicente personna, Vuillermo abbate III regente monasterium, regnante Philippo rege Francorum.

Résultats (Français) 1:

Alors qu'un certain homme de noble naissance, appartenant à un château voisin, qui est dit être Bolziol, dont le nom était Guillaume de Saint Thierry, chaque année sur le monastère, qui avait un extrait sec de cinquante ans, et la tenue d'une telle fidélité à la teneur de l'abbé, à ce sujet, de sorte qu'il pourrait jurer, en pensant à elle-même, comme l'apôtre ai «il est préférable de donner que de recevoir», soldat cujustam repentant de sa mort subite, une certaine partie de la tâche à laquelle il avait donné, il a utilisé pour, et de recevoir le reste qui a été prévu par la crainte du divin, de sorte que l'abbé du monastère, cependant, que la même fidélité à un serment de faire de la même manière, et pour ses fils après lui, comme ils le faisaient avant leurs pères; Ainsi, ils ont donné à sa femme, ses enfants et sa louange, le Seigneur Dieu, et de la sainte Theofredo caesterisque ptraedictos susdit, et les saints du même lieu shillings, et pour le rachat de son âme et le père de tous les enfants et parents de ses Sylvionis leurs pères, dans la miséricorde de Dieu dans le péché est la punition du jour du jugement parmi les élus, et de trouver les moyens d'évacuation . Sa femme, et la partie du reste des morts, il est de 15 shillings, le nom de Bertrand avec la volonté de son mari, pour la vie de ses enfants, pour recevoir l'argent, ou si elle avait qui ne sera jamais effacée. 7 Et il y avait l'acte de donation du premier mai, un jour de la semaine 2, par le lui confirmant Guigone Sylvione et Stephen et ses fils, et de l'autre côté de Guilherme Adone, la fille de l 'même Guigo, et ses fils avec Sicardo, Stephen, Guigone le témoignage des autres, et, sans la moindre opposition à sa personne, Vuillermo abbé 3, tandis que le monastère pendant le règne du roi Philippe de France.