Omitto iuris dictionem in libera ci

Omitto iuris dictionem in libera civitate contra leges quarum acerbissimum extat indicium et ad insignem memoriam turpitudinis et paene ad iustum odium imperii nostri, quod constat nobilissimas virgines se in puteos abiecisse et morte voluntaria necessariam turpitudinem depulisse. Nec haec idcirco omitto, quod non gravissima sint, sed quia nunc sine teste dico.

Altera sententia est, quae definit amicitiam paribus officiis ac voluntatibus. Hoc quidem est nimis exigue et exiliter ad calculos vocare amicitiam, ut par sit ratio acceptorum et datorum. Divitior mihi et affluentior videtur esse vera amicitia nec observare restricte, ne plus reddat quam acceperit in amicitiam congeratur.

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Je ne dis rien de la plus amère est existant, dont la juridiction régulière, l'information, et dans un état ​​libre à un contraire considérable pour les lois de la bassesse et étendu presque à la mémoire des justes raisons de ressentiment de notre pouvoir, qui est rendue nécessaire par une mort volontaire, et la nudité des jeunes filles nobles se sont dissipés et rejetés, dans les puits. Est ni une telle raison, je passerai par-dessus, ce qui est pas très grave, mais je sais maintenant sans témoin, je dis. La deuxième est que la doctrine qui limite l'amitié par un égal et bienveillance. Ceci, en effet, est beaucoup trop étroit et antilibérale une amitié, comme si l'objet était un débiteur et le créancier. La véritable amitié me semble être plus riche et plus abondante, et de ne pas regarder la justesse, de peur qu'elle devrait lui donner plus de ce qui vient d'être accepté comme amis étaient réunis.