Le penseur déduit ce qui lui propre, bien trop soucieux des propos d’autrui qui parallèlement se confondent parfois à sa vérité nourrissant le fruit de sa raison.
Le penseur DEDUIT Ce Qui lui propre, bien trop se confondent soucieux des propos d'Autre Qui Parfois à sa vérité nourrissant parallélement le fruit de sa raison.