Certus es ire tamen miseramque reli

Certus es ire tamen miseramque relinquere Didon
atque idem venti vela fidemque ferent.
certus es, Aenea, cum foedere solvere naves
quaeque ubi sint nescis, Itala regna sequi.
nec nova Karthago, nec te crescentia tangunt
moenia nec sceptro tradita summa tuo.
facta fugis, facienda petis; quaerenda per orbem
altera, quaesita est altera terra tibi.
ut terram invenias, quis eam tibi tradet habendam?
quis sua non notis arva tenenda dabit?
alter habendus amor tibi restat et altera Dido
quamque iterum fallas, altera danda fides.
quando erit, ut condas instar Karthaginis urbem
et videas populos altus ab arce tuos?
omnia ut eveniant, nec di tua vota morentur,
unde tibi, quae te sic amet, uxor erit?
Uror ut inducto ceratae sulpure taedae,
ut pia fumosis addita tura rogis.
Aeneas oculis vigilantis semper inhaeret;
Aenean animo noxque diesque refert.

Résultats (Français) 1:

Êtes-vous déterminé, cependant, d'abandonner misérable
Didon, la loyauté et le même vent, les voiles eux-mêmes.
Êtes-vous déterminé, Aeneas, pour libérer vos promesses avec les navires
et que vous ne savez pas où ils sont royaumes d'Italie, de la suivre.
Ne laissez pas nouvelle Carthage, et ne vous impressionné par
les murs, et le sceptre placé dans votre main.
Il n'y a que vous allez, pour vous? doit être recherchée à travers le monde,
l'autre, celle recherchée, il est une terre de votre.
vous trouvez cette terre, qui va vous le donner?
Qui va donner à ses champs garder?
un autre amour peut vous attendent, et un autre Dido,
sera de nouveau donné une autre promesse.
Quand il que vous avez trouvé la ville de Carthage et, comme
les gens de la haute citadelle et pouvez-vous voir vos yeux?
tout devrait se produire, et ne tardez pas pour vos prières,
afin que vous, qui vous aime tant, la femme sera?
brûler, comme des torches de cire couverts avec du soufre,
que l'encens pieux placé sur le tabagisme.
Aeneas mes yeux toujours en éveil, accroche à
l'esprit calme Aenean et la nuit.