Sed ego quae mente agitaui, omnes i

Sed ego quae mente agitaui, omnes iam antea diuersi audistis. Ceterum mihi in dies magis animus accenditur, cum considero, quae condicio uitae futura sit, nisi nosmet ipsi uindicamus in libertatem. Nam postquam res publica in paucorum potentium ius atque dicionem concessit, semper illis reges tetrarchae uectigales esse, populi nationes stipendia pendere; ceteri omnes, strenui boni, nobiles atque ignobiles, uulgus fuimus sine gratia, sine auctoritate, iis obnoxii, quibus, si res publica ualeret, formidini essemus. Itaque omnis gratia potentia honor diuitiae apud illos sunt aut ubi illi uolunt; nobis reliquere pericula repulsas iudicia egestatem

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Ce que je ai occupais mon esprit, qui avaient tous déjà été entendues séparément. Pourtant, jour après jour de plus en plus excité, quand je considère ce genre de vie que nous devrions être, à moins que nous revendiquons notre liberté. En fait, depuis que le gouvernement a le droit et sous la domination de quelques-uns des puissants, le tétrarque avait payé la taxe d'être toujours à eux que les rois, les peuples et les nations les ont payé des impôts; mais tout le reste de la bonne, noble ou roturier, nous avons été l'inconnu à la grâce commune de Dieu, sans l'autorisation de, et sous réserve de ce dernier, si la république étaient en bonne santé, nous devrions être une terreur. En conséquence, toute la puissance de la grâce de l'honneur, la richesse, sont avec leurs mains, ou là où ils veulent; nous a laissé dangers rejets jugements pauvreté