Si quis dixerit R. P. non esse B. P

Si quis dixerit R. P. non esse B. Petri in primatu successorem, anathema sit. Sed si possibile esset ut per quamcumque causam Summus Pontifex ab Romano episcopo atque Urbe ad alium episcopum aliamque civitatem transferretur, definitiones istae, ut veritatem haberent, sic deberent intelligi: Diffinimus R. P. successorem esse B. Petri, quamdiu scilicet manebit successionis ratio quae usque nunc viguit, vel donec circa Petri successionem nova aliqua interveniat ordinatio, vel usquedum mutetur praesens rerum status et conditio. Atqui huiusmodi limitatio, praeterquam quod gratis effingitur, apparet positive excludenda. Primo quia debuisset exphcite et signanter exprimi, ne canones fidei in suo sensu maxime obvio et naturah evadere possent ahquanclo falsi.

Résultats (Français) 1:

Si quelqu'un dit que le RP est de ne pas être le successeur du bienheureux Pierre dans la primauté, qu'il soit anathème. Bien sûr, si il serait possible que, par une cause quelconque, le Souverain Pontife a été transféré de la ville de Rome et de la ville et à un autre évêque, prendre une autre, les définitions de celles-ci, afin que la vérité peut avoir eu, ils doivent être compris de cette manière: Nous définissons la RP est le successeur du bienheureux Pierre, tant qu'elle restera de la succession, à savoir, la raison pour laquelle se poursuivra jusqu'à maintenant prospéré , ou jusqu'à ce que la succession de Pierre nouvel arrangement de l'espace, ou jusqu'à ce qu'il change l'état et la condition présente. Et pourtant, ce genre de limitation, en plus d'être gratuit commence à prendre forme, il semble positivement exclus. D'abord, parce qu'il aurait dû faire exphcite être exprimé et de façon significative, les canons de la foi dans son propre esprit peut-être pas la plus évidente et naturelle, ils pourraient se dégager ahquanclo de la fausseté.