Karolus, Dei gracia Francorum rex,

Karolus, Dei gracia Francorum rex, notum facimus universis presentibus et futuris nos supplicationem humilem Andree Pann, de Fontibus juxta Cabilonem, recepisse continentem quod, cum pridem plures homines armati, tam Britones quam alii et in magna quantitate, in dictam villam de Fontibus venissent, qui ecclesiam dicte ville cum fortalicio fortifficatam per habitantes ejusdem ville, ut se ipsos una cum uxoribus, liberis et binis suis salvare et custodire valernt intrarunt eam et fortalicium cepernt et in ejusdem remanserunt per longa tempora, gentes illius patrie capiendo ut prisionarios et ipsos ad maximas et excessivas redemptiones ponendo, uxores ipsorum habitantium violando, ignem in domibus eorumdem mittendo ac plura alia enormia delictacommitendo, dictus supplicans et plures alii habitantes dicte ville ab eadem villa se absentassent et pro timore dictorum armatorum in quodam nemore proximum dicte ville se reposuissent et inibi quamdiu dicti homines armorum in dicta villa et fortalicio steterunt, remanssent, quo durante termino, iidem habitantes, necessitate alimentorum ducti, de dicto nemore ad dictam villam pluries accesserunt, tam de die quam de nocte, ut de bonis suis propriis habere et secum ad dictum nemus portare valerent, et abinde sibi ipsis succurrere possent

Résultats (Français) 1:

Charles, par la grâce de Dieu roi des Français, avec une humble supplication de Andrew, nous faire connaître à tous présents et à venir, du tissu en provenance du Japon, selon le Cabilonem ils se retirèrent contenant que, il ya longtemps, quand un certain nombre de personnes étaient armés, et la grande quantité de fois les Britanniques et d'autres, était arrivé dans la ville de fontaines, qui, par moyen de l'ensemble des habitants de ladite ville avec le fortin fortifficatam la même ville, afin qu'ils puissent, avec leurs femmes, leurs enfants, et ils sont allés vers elle, et de ses deux fortin Valero a pris pour enregistrer et de garder pendant une longue période, et sont restés dans le même, et les nations de ce pays, en les prenant à la plus grande, à prisionarios et en plaçant rançons excessives, leurs femmes vivaient violer le feu à leurs maisons et l'envoi de plusieurs autres énormes delictacommitendo appelé suppliante et plusieurs autres du même village, les habitants de la ville elle-même, et par crainte absentassent dit que les hommes armés dans un bois près de la ville, et il a placé là aussi longtemps que dit que les hommes de leurs armes, ils se tenaient dans ledit pays, et sur fortin, remanssent, dans lequel, pendant le terme, les habitants de la même, guidés par la nécessité de la voie de la nourriture, sous l'arbre de tamaris à ladite ville desdits plusieurs fois, ils sont venus, à la fois de la journée et de la nuit, de sorte qu'il a été dit de ses biens avec lui à la palmeraie, et possède sa propre partie supporter, ils étaient en vigueur, et de là, ils ont pu se aider