Noluerunt feris corpus obicere ne b

Noluerunt feris corpus obicere ne bestiis quoque quae tantum scelus attigissent immanioribus uteremur; non sic nudos in flumen deicere ne, cum delati essent in mare, ipsum polluerent quo cetera quae violata sunt expiari putantur; denique nihil tam vile neque tam volgare est cuius partem ullam reliquerint. [72] Etenim quid tam est commune quam spiritus vivis, terra mortuis, mare fluctuantibus, litus eiectis? Ita vivunt, dum possunt, ut ducere animam de caelo non queant, ita moriuntur ut eorum ossa terra non tangat, ita iactantur fluctibus ut numquam adluantur, ita postremo eiciuntur ut ne ad saxa quidem mortui conquiescant.

Résultats (Français) 1:

Ils ne voulaient pas jeter le corps de leur retraite aux bêtes qui avaient touché cette méchanceté, plus sauvage; pas afin de ne pas les jeter nu dans la rivière, de peur quand ils étaient dans la mer, ils devraient souillent par lequel tous les autres sont soupçonnés d'avoir été violés; rien, bref si vil ou si commun qu'ils les ont laissés une action. [72] En effet ce qui est si commune que le souffle à la vie, la terre aux morts, la mer à ceux qui flottent, le rivage à ceux qui sont jetés? Donc vivre, alors qu'ils sont en mesure de tirer le souffle du ciel, ne pourra pas, donc mourir que la terre ne touche pas leurs os, ils sont ballottés par les vagues donc jamais lavés; enfin, ils sont jetés les morts qu'ils ne reposent pas sur les rochers.