Vivo et spirante corpore absolutam

Vivo et spirante corpore absolutam existendi speciam et exemplar praeberi existimat. Ubi enim nihil reperitur quid sit et divisum et ita dispositum ut ad unum finem omnia vergant, nihil movetur nec vivit, nec plane existere dici potest. Eodem modo mentis actio, ut ipsa sit vera et perfecta, certis terminis contineri et medium habere debet, ut intimam crescendi legem hauriat ? Nam una sententia nihil gignere valet ; sed duae, ubi per mediam partem conjunguntur, genitalis cujusdam vis participes fiunt, tertiamque enuntiationem, nomine conclusionem, pariunt. Quamobrem non aliquo casu aut fortuna syllogismus apud Aristotelem est philosophandi principium, sed, cum animalium vitam imitatus sit, suamque existendi causam in se contineat, per se est perfectum quiddam.

Résultats (Français) 1:

Pense que le corps est donnée à l'absolu de l'existence de l'espèce et exemplaire que je vis et respire. Car là où il est disposé de telle sorte, que rien est ce qu'elle est et dans le même but, et divisé toutes les choses ont tourné, rien est déplacé ne vit pas, ni du tout peut être dit d'exister. De la même manière l'action de l'esprit, de sorte qu'il est vrai et parfait, et le milieu a été fixé dans le cadre de l'un devrait avoir le droit de les boissons âme dans l'intime de la croissance? En fait, en une seule phrase dans l'application concrète, il ne vaut rien; mais deux, où il est la partie centrale sont réunis, ils deviennent participants de la région génitale d'une certaine puissance, une troisième déclaration, le nom de la chaîne, le jeune. Donc, il est pas un syllogisme dans la philosophie d'Aristote et le succès a été le début d'un cas particulier, mais, comme il suit l'exemple de la vie des êtres vivants, et leur cause possible en lui-même, par lui-même, est le tampon parfait.