Fuisti igitur apud Laecam, illa noc

Fuisti igitur apud Laecam, illa nocte, Catilina ; distribuisti partes Italiae, descripsisti partes Urbis ad incendia. O dii immortales ! Quam rempublicam habemus ? In qua urbe uiuimus ?
Salus summa reipublicae non est periclitanda. Parauisti manum causa consulum interficiendorum. Nunc iam petis aperte rempublicam unuiuersam ; uocas ad exitium et uastitatem templa deorum immortalium, tecta urbis, uitam omnium ciuium, denique Italiam totam.

Castra sunt in Italia contra rempublicam, in Etruriae faucibus collocata. Uidemus autem imperatorem eorum castrorum, intra moenia atque adeo in senatu, molientem quotidie aliquam perniciem reipublicae.

Num dubitas, Catilina, me imperante, exire ? Non potes iam uiuere diutius nobiscum, non feram, non sinam.

Résultats (Français) 1:

Par conséquent, vous étiez à Lecca de, cette nuit-là, Catilina; vous avez divisé les parties de pièces Italie, je viens de décrire de la ville pour incendie criminel. Oh dieux! Comment faire pour avoir un gouvernement? Dans quelle ville vivons-nous?
La sécurité de l'Etat ne sont pas la somme des risques d'exécution. Le but de faire des préparatifs pour son assassinat. Maintenant déjà réclamé énoncer clairement unuiuersam; la dévastation causée par la destruction des temples des dieux immortels, et ils appellent le Golfe, les bâtiments de la ville, la vie de tous les citoyens, et, en bref, l'ensemble de l'Italie. Il ya des camps en Italie, contre l'Etat, dans les cols de montagne, ont été mis en place. Je vois leur commandant du camp, avec les murs et même au Sénat, tout en luttant pour chaque jour une catastrophe de l'Etat. Vous ne hésitez pas, O Catilina, à mon commandement, de sortir? Vous ne pouvez pas vivre depuis longtemps déjà avec nous, je ne vais pas le supporter, je ne le tolérerai pas.