Verum tamen hoc dico de toto genere

Verum tamen hoc dico de toto genere Graecorum : tribuo illis litteras, concedo multarum artium diciplinam, non adimo sermonis leporem, ingeniorum acumen et dicendi copiam ; testimoniorum autem religionem et fidem numquam ista natio coluit, ignorantque quae sit uis totius hujusce rei, quae auctoritas, quod pondus. Vnde illud est : « Da mihi testimonium mutuum » ? Num Gallorum, num Hispanorum illud prouerbium esse putatur ? Totum istud Graecorum est. Itaque uidete quo uultu, qua confidentia dicant ; tum intellegetis qua religione dicant. [...] Graecus testis cum ea uoluntate processit ut laedat ; uinci, refelli, coargui putat esse turpissimum ; ad id se parat, nihil curat aliud. Itaque non optimus nec grauissimus, sed impudentissimus loquacissimusque ab eis deligitur ut sit apud iudices.

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Il est vrai de toute la race des Grecs, cependant, je dis ceci: je leur accorde une lettre, vous devez accorder qui empêchent les arts, ne prend pas la parole du lièvre et la netteté de l'esprit, et est arrivé à un certain fluidité; les témoignages de la foi et la religion ne ont jamais servi cette nation, l'ensemble de cette chose ignorantque ce qui est leur force, qui est l'autorité, qui est le poids. Et donc les mots est: «Donnez-moi le témoignage de mutuelle»? Faites les Français, les Espagnols, que ce est censé être un dicton? Entièrement grecque. Et donc, en dépit de quoi il veut, par lequel nous pouvons dire avec confiance; puis ils vont comprendre que la religion. [...] Un témoin grecque avec sa propre volonté que de faire du mal; à surmonter, a réfuté, ils sont accusés pense que ce est la plus honteuse; il se protège contre, il ne se soucie pas pour autre chose. Et donc, pas le meilleur, ni le plus bas, mais le plupart d'entre eux a été choisi pour loquacissimusque il devrait y avoir avec les juges.