Ego sane fateor, me non posse prohi

Ego sane fateor, me non posse prohibere, si, quis plures velit uxores ducere, nec repugnat sacris Literis: verum tamen apud Christianos id exempli nollem primo introduci, apud quos decet etiam ea intermittere, quae licita sunt, pro vitando scandalo, et pro honestate vitae, quam ubique Paulus exigit.

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Je l'avoue, que je ne pouvais pas l'empêcher, si je, qui désirent connaître plus de femmes que l'un, ne soit pas contraire aux Écritures saintes, mais je ne voudrais pas, cependant, par exemple, parmi les chrétiens, que le premier à être introduit, il faut aussi être plus congé pendant un certain temps dans lequel les choses qui sont, en vue d'éviter le scandale, et pour l'intégrité de la vie, qui chaque où l 'injonction de Paul.